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Recherche par auteur : Noël, Jean-Philippe

23 résultats. Page 2 sur 2.

Durée:3h. 32min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:35872
Résumé: Le narrateur décide de quitter Paris et propose à Noéli, son amant, de l'accompagner à Saint-Domingue. Ce dernier ayant refusé son invitation, il arrive seul dans la ville de Montecristi. Sa migration au paradis est un échec total, il découvre une ville empoisonnée, à l'eau polluée par les fûts toxiques déposés par les cargos américains, les passeurs exploitant la misère de migrants, etc. ©Electre 2017
Durée:4h. 5min.
Genre littéraire:Sciences/technologie
Numéro du livre:17591
Résumé: À la fin de 2004, Google a annoncé à grand bruit son intention de créer une bibliothèque numérique universelle : 15 millions de livres en six ans. Jean-Noël Jeanneney, à l'époque président de la Bibliothèque nationale de France, a alors mis en garde contre les risques d'un quasi-monopole consenti à une entreprise commerciale tentée par les vertiges de la toute-puissance. Il a appelé à la création en concurrence, d'une bibliothèque européenne baptisée par lui Europeana. Quatorze traductions de ce manifeste ont été publiées dans le monde. On a mieux compris, partout, qu'une hégémonie de Google sur l'accès au contenu des ouvrages et sur leur indexation serait lourde de périls pour la diversité culturelle et pour les droits des auteurs et des éditeurs.
Lu par:Patrice Rungs
Durée:5h. 5min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:21033
Résumé: " C'est fini, je crois ", disait-elle. Elle abandonnait le stylo, caressait sur la table la petite pyramide de marbre, le boîtier pour ses bagues, le socle de la lampe noire où était appuyée la carte du " génie aux fleurs " qui continuait à la protéger, les régions de bois, plus pâle et, usé où, pendant tant d'années, ses mains s'étaient posées et crispées, puis les feuillets alignés qu'elle aimait traverser de lignes portant, chacune, dans le ciel blanc, en haut de la page, un mot qui était, chaque fois, un peu de son cœur, de sa vie qui s'en allait... Elle restait là, penchée, sans pouvoir pleurer, vers les feuillets comme pour leur demander pardon de les abandonner déjà, de n'avoir plus rien à leur donner, à leur sacrifier. Il lui semblait (et elle frémissait tout entière, comme pour les ressaisir, ne pas les laisser s'enfuir) qu'ils venaient vers elle, du fond du silence de la rue du Delta, tous ses personnages, cette petite troupe ahurie, chavirée et triste, pareille à celle d'une croisière déjà finie, qui allait se séparer après une dernière photo de groupe sur un quai et qui paraissait lui dire de loin : " Tout est passé si vite. "